Résumé:
Les Sinclair: grands, blonds, sveltes, riches, parfaits, surtout pas des ratés, encore moins des criminels. Une île privée sur laquelle la famille se rassemble chaque été. Une fille brillante, blessée; un garçon passionné, engagé. Un groupe de quatre adolescents – Les Menteurs – dont l’amitié sera destructrice.
Une révolution. Un accident. Un secret. Mensonges sur mensonges. Le grand amour. La vérité.
Le livre nous emmène dans une chasse effrénée aux souvenirs et à la vérité. Le début du roman place le cadre de l’histoire, celui de cette famille parfaite, ou du moins qui se force à l’être et à le paraître, et celui de cette « héroïne », Cadence, une des filles de la famille, qui souffre de migraines atroces et de pertes de mémoire depuis son accident. Nous la suivons dans le dédale de sa mémoire et dans sa quête de vérité, tout cela dans le cadre de cet île, le roman devenant un huis clos. Elle désire comprendre, savoir, et malgré le brouillard qui règne sur l’affaire au commencement de l’histoire, le lecteur prend vite goût à l’intrigue et ne peut s’empêcher de chercher lui aussi ce qu’il s’est passé, jusqu’à ce que l’ultime vérité lui soit enfin révélée. Le livre vaut la peine d’être lu pour cette enquête que le lecteur mène avec Cadence et pour la chute finale, qui est, à vrai dire, plus que surprenante.
Note: 8,5/10
Léa
Ce livre fait partie de la sélection du prix Farniente 2017